Parce que le savoir s'enrichit en circulant, l'Université de Strasbourg poursuit résolument sa tradition historique de favoriser les contacts avec les pays extérieurs. La mobilité concerne tout le monde : étudiants, personnels administratifs et enseignants.
La journée de la mobilité internationale du 21 octobre dernier a permis de présenter l'ensemble des options pour partir étudier, effectuer un stage ou travailler à l'étranger. L'occasion d'étudier toutes les possibilités de concrétiser un projet de mobilité.
Sandra Rebel, nouvelle responsable du département de la mobilité au sein de la Direction des relations internationales de l'université, détaille ces dispositifs.
Les personnels administratifs sont encore peu nombreux à partir, et pourtant, les possibilités existent...
Sandra Rebel : Oui, il s'agit le plus souvent de séjours d'une semaine, dans des universités partenaires. Quatre personnes sont parties l'an dernier et cette année, nous proposons huit autres mobilités en Europe. Ce sont des mobilités de formation continue : elles permettent d'enrichir ses compétences professionnelles et à ce titre, sont préparées avec la composante ou le service de l'agent, mais également avec la Direction des ressources humaines.
Une démarche qui a été très bien comprise par la Faculté des sciences de l'éducation par exemple, où une personne des services administratifs a bénéficié d'une mobilité en même temps qu'une enseignante. Cela lui a permis d'avoir une vision plus large des procédures de mobilité, de mieux comprendre son fonctionnement et tout ce qu'implique Erasmus dans son travail.
Concernant les enseignants, une quarantaine a pu partir l'année dernière, toutes composantes confondues. Notre ambition est clairement de promouvoir ces mobilités, de les développer. Mais ce n'est pas toujours simple, car les calendriers sont parfois difficilement compatibles.
Et les étudiants ?
SR : Pour les étudiants, la mobilité est intégrée dans certaines formations, comme à l'EM Strasbourg, ou à l'IEP. L'IUT organise aussi de nombreux stages à l'étranger, avec des partenaires dont la structure se rapproche de celle des IUT. Par exemple, au Canada le système d'enseignement universitaire est assez similaire au nôtre, ce qui rend les échanges particulièrement fructueux.
Dans ces composantes, un service de mobilité instruit directement tous les dossiers. Les autres candidats au départ sont suivis par notre service.
Différentes formules existent, en fonction du projet pédagogique de l'étudiant : il peut s'agir d'un stage, ou d'un séjour d'études d'un semestre, ou d'une année entière. En la matière, le programme de mobilité le plus plébiscité par les étudiants reste Erasmus, accessible à partir de la troisième année de licence. On demande aux candidats de préparer leur projet très tôt pour pouvoir en bénéficier, entre janvier et mars, pour un départ l'année suivante.
Mais il n'y a pas qu'Erasmus ! À l'Université de Strasbourg, nous avons la chance de faire partie du réseau Eucor qui ouvre les portes de 4 autres universités (Karlsruhe, Freiburg, Bâle et Mulhouse) dès la première année d'études. Et nous avons également de nombreux partenariats hors Europe qui permettent de partir aux États-Unis, au Canada, en Australie, au Japon... Chaque projet de mobilité est validé par un enseignant et c'est l'intérêt pédagogique qui détermine la destination. Il est évident que ces formations à l'étranger, outre l'enrichissement au plan personnel, sont une vraie plus-value dans un cursus et une ligne importante dans un CV.
La tendance est-elle à la hausse ?
SR : Oui, en trois ans, le nombre d'étudiants de l'Université de Strasbourg partis à l'étranger a augmenté de 26%. Et cette tendance devrait se confirmer, puisque les critères d'éligibilité Erasmus évoluent et ces mobilités sont dorénavant ouverts aux étudiants étrangers régulièrement inscrits dans une université européenne, et non plus aux seuls étudiants de nationalité européenne.
Cela coûte-t-il cher de partir faire des études à l'étranger ?
SR : Pour un séjour d'études, la bourse Erasmus est de 155 euros par mois et pour un stage elle varie selon le montant éventuel de rémunération de ce stage. Une commission arbitre le montant dispensé. La Région alloue une « bourse Boussole » de 40 euros par semaine et la Ville de Strasbourg offre une bourse spécifique pour les étudiants qui partent dans les villes jumelles, le forfait variant selon la distance et le coût de la vie sur place. Il existe aussi des bourses d'aide à la mobilité pour ceux qui sont déjà boursiers au niveau du CROUS. Tout cela se calcule au cas par cas.
Enfin, l'Université de Strasbourg a mis en place une bourse, financée sur ses propres deniers, destinée à aider surtout les étudiants qui s'orientent vers le Japon, les États-Unis et le Canada.
Des arbitrages sont faits pour que chacun bénéficie d'une bourse qui corresponde le mieux à sa situation et à ses ressources financières.
C'est pourquoi le temps de préparation du voyage est si long ?
SR : Oui, les mobilités sont très encadrées. Outre le contenu de la formation, qui est discuté, visé, validé, et ajusté avec le correspondant relations internationales de chaque composante, un contrat est signé dans lequel figurent les cours suivis chez le partenaire. Des attestations de présence sont aussi demandées, et avant même le départ, certaines préparations peuvent être conseillées, comme une formation plus intensive en langues. Un départ ne se prévoit pas à la légère, si on veut en tirer un maximum de profit !
Consacrée à la mobilité, la journée du 21 octobre s'adressait autant aux étudiants qu'aux enseignants et aux personnels administratifs. Dans chaque composante, des points info et des rencontres avec des personnes qui ont fait l'expérience étaient organisés. Des réunions d'information détaillaient les modalités.
Virginie Vendamme
L'insertion professionnelle des diplômés des universités est une préoccupation grandissante des universités et devient l'un des critères de « performance » sur lequel elles sont jugées.
Depuis plusieurs années déjà, un nombre croissant d'établissements sur le territoire national s'est doté d'un « observatoire » pour mettre en œuvre et exploiter les enquêtes d'insertion de leurs diplômés, utiles voire indispensables pour aider les étudiants à choisir un parcours professionnel et comme outil de pilotage des responsables de diplômes.
Les universités d'Alsace ont ainsi créé en 2003 l'Observatoire régional de l'enseignement supérieur et de l'insertion professionnelle des étudiants (ORESIPE) qui s'emploie depuis à réaliser ce type d'enquêtes et à en communiquer largement les résultats aux étudiants et aux différentes instances de l'université impliquées dans la construction de l'offre de formation. Les enquêtes initiées à l'échelle nationale pour les DUT, puis les licences professionnelles et en 2006 pour les diplômés de masters ont été un moteur de la mise en cohérence du contenu de ces enquêtes. Les échanges entre observatoires au sein du réseau « Resosup » ont grandement aidé les uns et les autres à affiner leur méthodologie.
Les résultats de l'enquête « Master 2007 » viennent de paraître. Ils ont fait aussitôt à l'Université de Strasbourg l'objet d'une courte information dans le numéro 32 de l'Actu faisant apparaître que 27 mois après l'obtention de leur diplôme, le taux d'insertion des diplômés de master 2007, incluant les étudiants de nationalité étrangère, est globalement de 91,4% dans notre université. Une analyse plus détaillée est accessible en ligne sur le site de l'université sous la rubrique des « Dossiers et lettres de l'Observatoire ».
Parallèlement, les résultats de la même enquête exploitée au niveau national sur une population plus restreinte, excluant notamment les étudiants étrangers, a fait l'objet d'une communication ministérielle dont la presse s'est fait largement l'écho. Si les universités, et la notre en particulier, peuvent se réjouir que leur engagement pour offrir à leurs étudiants les meilleures chances de s'insérer au sein du marché du travail soit ainsi reconnu et souligné par notre ministre, le classement des universités qui accompagnait ses propos paraît en revanche inconvenant et suscite de vives réactions de la part des observatoires et des présidents d'université. Il ne vous aura pas échappé que, dans ce classement, les taux d'insertion sont relativement resserrés et qu'une différence de quelques dixièmes de point n'est assurément pas significative lorsque l'on sait l'impact sur les résultats du profil disciplinaire de la population enquêtée, des effectifs concernés et des taux de réponses aux enquêtes, impact d'autant plus sensible que les effectifs sont faibles. Vous aurez noté aussi que, les ex aequo sont classés par ordre alphabétique et classés en conséquence ! Et enfin, qu'un certain nombre d'universités, et non des moindres, ont échappé à ce classement, discréditant par là même la notion de « palmarès » des universités. Le pouvoir des chiffres et la fascination des classements ! À méditer…
Annie Cheminat
Directrice de l'ORESIPE
À la fin du mois d'octobre se termine la seconde série des entretiens du dialogue de gestion. 65 réunions réunissant autour d'une table les représentants de chaque composante, service central ou service commun, et l'équipe de direction de l'université (premier vice-président, vice-président aux ressources humaines, parfois vice-président à la recherche, directeur général et ses adjoints, directeur financier, directrice des ressources humaines, directeur du SAP). L'objectif est toujours le même : mettre au point un contrat d'objectif et de moyens avec chaque composante et répartir les moyens humains et financiers des services. Mais cette année, on n'est plus en phase de rodage.
L'an dernier, la mise ne place du dialogue de gestion était une grande nouveauté, cette année, tout le monde est-il rodé ?
Jean Déroche (DGS) - L'an dernier, nous étions de part et d'autre dans la découverte. On peut dire que certaines personnes n'avaient pas encore saisi la portée de l'exercice et arrivaient en dialogue de gestion plus ou moins sans préparation. Ce n'est plus le cas cette année. Les entretiens en sont d'autant plus productifs. On note aussi, dans certains cas, le rôle qu'ont joué les collégiums dans le choix des projets qui nous sont présentés.
Hugues Dreyssé (VP ressources humaines) - Je remarque pour ma part que les composantes montrent de plus en plus de sens des responsabilités et d'implication dans la vie de l'université.
Michel Deneken (1er VP) - Grâce au dialogue de gestion, qui s'inscrit dans tout un système de travail avec les composantes, nous nous connaissons de mieux en mieux. Nous sommes dans une relation de confiance qui facilite les négociations. Nous avons aussi remarqué que certains échanges qui ont eu lieu lors des entretiens de 2009 ont porté leurs fruits : les composantes s'appuient davantage sur les services qu'autrefois, elles ont intégré la possibilité de financer leurs projets via des plans pluriannuels d'investissement.
Dans quel contexte national et local se déroule ce dialogue de gestion ?
JD - Au niveau national, nous sommes dans une certaine incertitude. On sait juste qu'il n'y aura pas de suppressions d'emplois dans l'enseignement supérieur et la recherche. Mais on ignore comment se répartiront les moyens : redéploiement dans les établissements ou maintien des emplois là où ils sont ?
MD - Dans le premier cas, l'Université de Strasbourg étant réputée surdotée en personnels, nous pourrions être amenés à restituer des postes, ce qui n'arrangerait pas nos affaires...
JD - Au niveau de l'université, le contexte est marqué par la préparation du prochain contrat, désormais quinquennal (2013-2017, en principe) : nouvelle offre de formation, nouvelles orientations de la recherche, et donc autant d'éléments qui auront des incidences sur les profils des postes ouverts dans la prochaine campagne d'emplois.
Sur quoi va déboucher cette série d'entretiens ?
HD - Elle débouche à la fois sur la préparation du budget qui sera voté en décembre, et sur celle de la campagne d'emplois 2011 pour les enseignants-chercheurs et les biatoss.
JD - Le plus difficile est toujours de faire des choix, dans ce foisonnement de projets. Tout simplement, parce qu'on ne peut pas tout financer.
HD - Concernant la campagne d'emplois, on raisonne en termes de besoins et on cherche les moyens d'y répondre. Ce qui compte, c'est la cohérence générale de l'établissement. Le temps n'est plus où certains campaient sur leur stock d'emplois. Certaines composantes nous proposent désormais spontanément des mutualisations de postes. Cette nouvelle manière de voir les choses et toute la souplesse qu'elle offre, nous a permis, l'an dernier, de créer des postes, d'en transformer d'autres (changer leur catégorie, par exemple). Au final, c'est aussi un outil qui permet d'améliorer les carrières des biatoss et des enseignants-chercheurs.
Propos recueillis par Caroline Laplane
La Semaine pour l'emploi des personnes handicapées est un événement national, décliné en région, qui aura lieu du 15 au 20 novembre prochain. L'événement est initié par l'AGEFIPH(1) Lorraine-Alsace, le FIPHFP(2) et l'ADAPT(3).
Des événements sur le thème « la compétence, c'est tout ! » auront lieu dans le Bas-Rhin et le Haut-Rhin.
Consultez programme.
L'Université de Strasbourg s'associe à cet événement majeur pour l'emploi des personnes handicapées
Contact
Mission Handicap de l'Université de Strasbourg
f.rakitic@unistra.fr
(1) Association de gestion du fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées
(2) Fonds pour l'insertion des personnes handicapées dans la fonction publique
(3) Association pour l'insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées
La Faculté de théologie protestante est l'héritière de la première Haute École, fondée en 1538 à Strasbourg au moment de la Réforme et où étaient enseignés le droit, les lettres et la théologie. L'Université de Strasbourg garde cette particularité : elle est la seule université française à proposer un enseignement de théologie.
Avec son Bureau décanal installé juste sous les statues des Réformateurs qui bordent à cet endroit la façade du Palais universitaire, cette faculté entretient une activité très dense, qui fait toute sa réputation et son dynamisme.
Christian Grappe vous êtes doyen de cette Faculté de théologie. Comment va-t-elle ?
Bien ! Les projets ne manquent pas. Cette année, le gros chantier sera la transformation de la bibliothèque des facultés de théologie. Référence au niveau national dans le domaine des sciences religieuses, avec la BNU, elle a besoin de place et de réorganisation. Le sous-sol va donc être aménagé en lieu de stockage dense, avec des rayonnages sur rails. Cela signifie déplacer des milliers d'ouvrages, revoir l'étiquetage des deux fonds, celui de la théologie catholique et celui de la protestante, et modifier leur rangement. Nous arriverons ainsi à doubler la capacité de stockage du sous-sol, ce qui est bienvenu, en prévision des acquisitions futures.
Cela représente un gros chantier, financièrement parlant ?
Oui : plus de 650 000 euros. Nous recevons le soutien de la CUS et de la Région. L'université prend en charge la part manquante du Conseil général et les deux facultés avaient provisionné des sommes importantes en vue de ce chantier. Il faut savoir que les fonds sont d'une grande richesse patrimoniale, et qu'ils sont régulièrement enrichis. Lors de la célébration du 500e anniversaire de la naissance de Calvin, la faculté a ainsi reçu le « fonds Sarrau » de la part du Comte Gérald de Sarrau, de famille catholique. C'est une collection de quatorze lettres envoyées à Calvin, que le comte souhaitait remettre à une institution protestante. Calvin a enseigné trois ans à la Haute École, entre 1538 et 1541, et ce geste témoigne de notre rôle et de notre identité en terme d'histoire et de patrimoine.
Cette faculté serait-elle donc seulement tournée vers le passé ?
Non, nous essayons de vivre pleinement avec notre temps, en tenant compte de cet héritage. Par exemple, l'enseignement à distance se développe beaucoup, ce qui permet à des étudiants « tardifs », c'est-à-dire des gens qui sont engagés dans la vie active, et dans d'autres villes, de reprendre des études parfois sur le tard, et de suivre notre enseignement, grâce aux cours mis en ligne et à un suivi personnalisé. Actuellement, on peut suivre une licence sous cette forme, mais nous développons aussi le master.
La théologie est une science très transversale, nos enseignements couvrent de nombreuses disciplines (voir le détail des quatre champs d'enseignement ci-dessous), ce qui crée de nombreuses possibilités de collaboration.
Les journées inter-disciplinaires, chaque deuxième semestre, illustrent cette manière de travailler. Elles consistent à présenter le résultat de travaux réalisés, tout au long de l'année, en ateliers par des enseignants et des étudiants. Ces restitutions sont très créatives : elles prennent la forme de pièces de théâtre, de vidéos...
Ces journées permettent à des enseignants et des étudiants de monter des événements ensemble qui peuvent aussi bénéficier à l'université. C'était ainsi que, en septembre dernier, la pièce Lysistrata, d'Aristophane, a été donnée au Münsterhof, en partenariat avec l'Action culturelle de l'université. C'était aussi un clin d'œil à Jean Sturm, qui en son temps, avait instauré le théâtre grec dans son enseignement. Mais on a déjà joué aussi, dans ce cadre, une pièce d'Ionesco.
Les partenariats sont aussi très réguliers avec la BNU, notamment pour des expositions.
Vous dirigez une faculté à vocation très internationale et orientée vers la recherche ?
Oui, nous sommes la seule faculté de ce type en France, mais nous comptons 17 « collègues » rien qu'outre-Rhin, et nous accueillons, dans le cadre de partenariats Erasmus, de nombreux étudiants issus d'institutions partenaires, le plus souvent allemandes, mais aussi anglaises, roumaines... Nous éditons une revue d'histoire et de philosophie religieuse, qui nous permet d'entretenir des rapports très étroits avec nombre de chercheurs du monde entier. Cela permet aussi d'enrichir notre fonds documentaire, car cette revue fait l'objet d'échanges avec de nombreuses autres.
La forte tradition de recherche associée à la faculté l'a conduite à lancer un projet d'équipement d'excellence (Équipex) et à être partenaire d'un laboratoire d'excellence (Labex) dans le cadre du grand Emprunt. Nous attendons les résultats de ces deux appels d'offre. Parmi nos atouts majeurs figure la réflexion collective de notre équipe d'accueil, sur les usages et les mésusages de la Bible : des séminaires réunissent régulièrement les chercheurs impliqués dans ce projet, ce qui créée une remarquable dynamique de recherche.
Virginie Vendamme
La formation, très transversale, ouvre à des métiers tels que le ministère pastoral, l'enseignement religieux, l'aumônerie, la formation biblique, la recherche...
Les 250 étudiants (pour 24 postes de chercheurs) s'engagent très souvent dans des études longues, jusqu'au doctorat, ce qui contibue à une structure cylindrique des effectifs de la faculté, les doctorants étant particulièrement nombreux.
Faculté de théologie protestante
BP 90020
67084 Strasbourg cedex
Tél. 03 68 85 68 35
Contactez par courriel
Le site de la Faculté de théologie protestante
Le prochain séminaire aura lieu le jeudi 4 novembre de 9h à 12h dans l'amphithéâtre du Collège doctoral européen, 49 boulevard de la Victoire à Strasbourg.
Ce séminaire aura pour thème « la pédagogie universitaire ». Michèle Garant, directrice de l'Institut de pédagogie universitaire et des multimédias (IPM) de l'Université catholique de Louvain nous présentera la façon dont son université s'est organisée pour améliorer l'enseignement et la pédagogie.
Créé en 1995, l'IPM a pour finalité de soutenir la qualité de l'enseignement et de la formation à l'UCL. Deux missions principales lui sont attribuées :
Ces missions s'inscrivent dans le cadre de la politique de l'enseignement et de la formation de l'université et se développent en collaboration avec les autres services de soutien à l'enseignement (ADEF).
L'IPM est un institut de service, qui s'adresse aux enseignants, aux départements et facultés, et à toute personne impliquée dans la formation des étudiants. Il joue également un rôle de relais institutionnel entre les enseignants et les instances de pilotage de l'enseignement et de la formation.
La deuxième partie du séminaire sera consacrée aux projets ou activités menées dans ce domaine à l'Université de Strasbourg. Ainsi interviendront Philippe Portelli, directeur de la Direction des usages numériques et Nicole Poteaux, professeure en sciences de l'éducation qui, au sein du Collégium « Éducation et formation » mène une réflexion autour de la mise en place d'une « Maison de la pédagogie universitaire ».
Prenez connaissance du programme et, pour nous permettre de mieux vous accueillir, cliquez ici pour vous inscrire.
Une convention de superposition de gestion pour une partie de la rue Descartes a été approuvée par le CA du 28 septembre afin que la CUS puisse y déployer des places de stationnements payantes.
Désormais seuls les personnels ayant un badge parking et les étudiants handicapés y ont des places gratuites.
La Communauté urbaine de Strasbourg s'est engagée dans une politique de réduction de l'usage de la voiture pour les trajets domicile-travail. Parallèlement l'Université de Strasbourg a inscrit dans son contrat quadriennal une volonté de développement durable et d'amélioration de la qualité de l'environnement.
Dans le cadre de cette politique de la CUS, qui implique le stationnement payant en limite de campus, il était nécessaire d'établir une convention avec cette dernière, permettant la mise en œuvre du plan qu'elle a défini. Cette convention porte sur les parcelles situées à l'extrémité de la rue Descartes et devant la bibliothèque U2-U3.
Pour en savoir + sur les zones de stationnement, téléchargez :
le Plan d'actions : stationnement payant de la CUS
le flyer Flash-info étudiants de la CUS
À la fin du mois d'octobre se termine la seconde série des entretiens du dialogue de gestion.
Les présents aux examens 2008/2009
Envoyez nous vos informations à lactu@unistra.fr avant le 17 novembre à midi pour une parution le 19 novembre.
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